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Intempéries et environnements à risques

Intempéries et environnements à risques
les passages à niveau 
Chaque année, les passages à niveau sont à l’origine de plus d’une centaine de collisions entraînant une trentaine de décès. La majorité de ces accidents au passage à niveau concerne des « habitués » ou des riverains. Pour ne pas succomber à la routine, la prudence et la vigilance sont de rigueur. 

A l’approche d’un passage à niveau

  • Ralentissez. La présence d’un passage à niveau est systématiquement annoncée par un panneau de signalisation routière.
  • Arrêtez-vous au feu dès qu’il clignote au rouge.
  • Ne traversez la voie ferrée que si vous êtes absolument certain de pouvoir vous dégager rapidement du passage à niveau, en particulier si la route est encombrée.
  • Ne vous arrêtez jamais sur la voie ferrée.
  • Passages à niveau avec barrières :
    • arrêtez-vous avant le passage à niveau dès que les barrières s’abaissent ;
    • après le passage du train, attendez l’ouverture complète des barrières pour redémarrer.
  • Passages à niveau sans barrière :
    • arrêtez-vous avant le passage à niveau et avant de franchir la voie ferrée, vérifiez qu’aucun train arrive.

En attendant le passage du train

  • Ne tentez pas de passer, vous n’en n’aurez pas le temps.
  • Patientez ! Le temps d’attente à un passage à niveau n’excède pas quelques minutes.
  • Alertez un agent du chemin de fer si la fermeture persiste. La plupart des passages à niveau automatiques sont pourvus d’un téléphone relié directement à une gare.

En cas d’immobilisation sur une voie ferrée

  • Dégagez votre véhicule en enfonçant la barrière, elle est conçue pour ne pas résister à ce type de choc.
  • Évacuez toutes les personnes du véhicule.
  • Alertez au plus vite un agent du chemin de fer avec le téléphone du passage à niveau.

N’oubliez pas !


 - La distance d’arrêt d’un train peut atteindre 500 mètres.

 - Si vous vous retrouvez coincé au milieu d’un passage à niveau avec votre voiture, enfoncez la barrière de sortie : elle est conçue pour ça.

la conduite aux abords des chantiers

Aux abords d'un chantier, la circulation peut être limitée ou interdite temporairement sur une voie. Respectez scrupuleusement les panneaux de signalisation et réduisez votre vitesse. Des hommes et des femmes travaillent pour votre sécurité. A vous de penser à la leur !

Des risques réels

Un chantier ou une intervention d’urgence perturbent les conditions de circulation : suppression de la bande d’arrêt d’urgence, réduction du nombre de voies, ralentissements, déviation de la circulation...
Tout manque de vigilance de la part d’un conducteur peut s’avérer dangereux pour lui-même comme pour les tiers y compris les agents d’exploitation.

La conduite à adopter

À l’approche d’une zone balisée, il faut :
  • Respecter les consignes de sécurité délivrées par les panneaux de signalisation positionnés sur la route ;
  • Réduire sa vitesse pour anticiper les obstacles et le danger ;
  • Redoubler de vigilance si un gyrophare ou des feux clignotent ;
  • Ne pas attendre le dernier moment pour ralentir ou changer de voie.

Traversée d’une zone d’intervention

Lorsque l’on traverse une zone de chantier, il faut :
  • Conserver une vitesse modérée jusqu’à la sortie du chantier et rester concentré afin de pouvoir anticiper tout danger ;
  • Respecter impérativement une distance de sécurité avec le véhicule qui vous précède ;
  • Etre particulièrement vigilant en cas d’intempéries (pluie, neige, brouillard…).

  • les Intempéries

  • Pluie, brouillard, neige, verglas… adaptez toujours votre conduite aux conditions météorologiques. N’oubliez pas qu’en cas de pluie ou d’intempérie les limites de vitesse autorisées sont revues à la baisse, donc ralentissez ! Si les conditions météos sont trop extrêmes (forte neige, vents violents…) différez votre déplacement.

    En hiver

    • Avant de prendre la route : il est indispensable de remplir le réservoir du liquide lave-glace avec un produit antigel, de vérifier les pneus, mais aussi le bon fonctionnement de la batterie et des systèmes d’allumage, d’alimentation, de dégivrage et de chauffage.

    • Par temps de neige. Les conditions de circulation sont évidemment plus difficiles. Si vous ne pouvez pas faire autrement que de prendre votre véhicule, veillez à avoir des équipements adaptés : chaînes ou pneus spéciaux. Les chaînes doivent être à la taille des pneus et installées sur les roues motrices. Entraînez-vous à les poser avant de partir ! Les pneus hiver, conçus pour améliorer l’adhérence et le freinage, peuvent être montés dès la mi-octobre et démontés vers la mi-mars. Sur la route, réduisez votre vitesse, respectez les distances de sécurité et laissez toujours la priorité aux engins de déneigement et de salage.

    • Les plaques de verglas. Sur les routes de campagnes en hiver, elles sont fréquentes et difficiles à repérer. Un panneau spécifique signale parfois les zones à risques, toutefois soyez vigilants, surtout si vous traversez des zones ombragées et humides.

    La pluie

    En cas de pluie une vitesse trop élevée peut entraîner des risques de dérapage et donc des accidents. La chaussée mouillée réduit l’adhérence des pneus. Adaptez votre vitesse à l’état de la route et allongez de façon significative la distance de sécurité avec le véhicule qui vous précède.

    Le brouillard

    Parce qu’il réduit de façon significative la visibilité, et notamment la perception des distances, le brouillard est particulièrement dangereux sur route.
    •  Si du brouillard est à craindre, voire s’il est annoncé, différez votre départ notamment si vous devez faire un trajet en rase campagne. 
    • N’oubliez pas que sur l'ensemble du réseau routier et autoroutier, en cas de visibilité inférieure à 50 mètres, les vitesses maximales sont abaissées à 50 km/h.
    • Réduisez votre vitesse en fonction du manque de visibilité et utilisez vos feux de brouillard. 

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